Jeune plasticienne, Éponine Momenceau se sert du cinéma comme d’une fenêtre sur le monde réel.
" Avec ses films, Éponine nous entraine dans un univers visuel composé de soubresauts de lumière et d’ombres prégnantes, reprenant la métaphore des
« rayons et des ombres » chère à Robert Desnos. Elle mêle avec habileté des connaissances techniques liées au cinéma qu’elle n’hésite pas à remettre en jeu et détourner afin de concevoir des images relevant à la fois de l’expérimentation et de la contemplation. " (Marc Bembekoff).
Elle collabore avec de nombreux artistes, tels que Pierre Huyghe, Charles de Meaux, Marcel Dzama, Noémie Goudal, Sophia Al Maria, Soundwalk Collecive, Stephen O’Malley, SunnO))).
On a pu voir son travail au 57ème salon de Montrouge (com. Stéphane Corréard), dont elle a obtenu le prix, au Palais de Tokyo (modules de la Fondation Pierre Bergé Yves St Laurent, com. Marc Bembekoff), ainsi qu’à la biennale de la Jeune Création Européenne (com. Andrea Ponsini), à l’institut Goethe de Paris et lors d’expositions collectives : « À la croisée des chemins potentiels » à la FABRIKculture, Hégenheim (com. Laurence Blum) ; « Vidéo sur cour » Lieu Unique à Nantes ; Nuit Blanche 2014 Eglise Notre Dame des Champs ; Nuit Blanche 2016 Gymnase St Germain des Prés ; Nuit Blanche 2019 l’Eglise Sainte-Claire d’Assise, ainsi qu’au Radialsystem V à Berlin ou au Tank Shanghai / « Beyond perception / Nowness experiments » (com. Davide Quadrio).
Née en 1985 Éponine est diplômée du Conservatoire National de Paris en harpe et de l’École Nationale Supérieure des Métiers de l’Image et du Son (FEMIS).